Manuel Pedro Clemente évoque évoque les circonstances où il chantait : d'abord les foires, puis à la bandeja ; la fréquence des voyages, à pied ou à dos de bête, accompagné d'un enfant qui le guidait. Il a une aversion pour le défi, et l'obligation qui en découle de proférer des grossièretés contre le partenaire, alors qu'il estime ses collègues. Sa devise : " é melhor penser que não é, sendo, do que penser que é, sem ser" (modestie,tout en étantlucide sur sa valeur). Son programme de radio à Belo Jardim ; l'historique de l'apparition des radios, surgies vers 1950, la publicité des Cantadores par ce media, la production des émissions.