Tensions internes à l'ACT qui comportait des personnes de la mairie accompagnant le projet de centre culturel et des personnes ayant monté le projet de la maison des jeunes.
Les 36 associations ayant travaillé au projet de la Vermicellerie ont continué de travailler ensemble par la suite, au travers d'autres projets : Cimaise et portiques, le GMEA, des compagnies de théâtre...
Selon les informateurs, ces associations ont été mises à la périphérie du centre culturel de l'Athanor, générant un contre-pouvoir pour tous les directeurs à venir du centre culturel . Le passé n'a pas été oublié et interfère dans les relations, même au moment de l'enquête.
Discussion sur les approches des différents directeurs du centre culturel (devenu plus tard Scène nationale) : Gilles Durupt, Bonin, Viala.
Les informateurs font le constat que les relations sont souvent compliquées entre les scènes nationales et la création régionale. Elles sont le reflet d'une politique de cette époque. Tout l'argent public est concentré sur les scènes nationales. A un certain moment, les scènes nationales avaient des programmations identiques. Elles n'ont pas toujours joué leur rôle d'accueil d'artistes et d'émergence artistique.