Au sujet de la cohésion toujours forte entre les structures associatives. Des associations qui se sont construites sur les mêmes nécessités, en contre par rapport au politique. Avec à un moment, un risque de désunion lié au soutien financier de certaines structures et pas d'autres.
Echange sur les choix politiques peu judicieux des politiques locales, voir destructeurs. Choix fondés sur un désir de légitimer leur mandat , en ne favorisant pas la mutualisation.

Au sujet de Rocktime :
Rocktime fondé initialement sur un militantisme, une réelle volonté de faire découvrir les musiques émergentes.
Le caractère militant est actuellement remis en question. Certains rockeurs quittent Rocktime car ne sentent plus la possibilité d'expérimentation qu'ils vont chercher ailleurs, à la maison des jeunes.
Selon Marie Peryrille, la programmation courageuse de 2005, plus osée, revient aux fondements de Roctkime, hors des chemins mercantiles.
Le militantisme des années 70-80 qui donnait un sens à l'action est en perdition. Aujourd'hui, l'argument qu'on entend (ex de pause guitare) c'est qu'il y a beaucoup de bénévoles, et beaucoup de spectateurs, de la convivialité. Mais quel est le sens ? Plus de militantisme, plus de conscience politique.
On subventionne des structures pour engraisser des tourneurs.
Le sens de l'action culturelle c'est une somme d'individualité. Les masses, ce n'est pas le rôle de la formation culturelle.
Les informateurs avertissent sur l'importance de continuer de se poser la question du sens, malgré le manque de reconnaissance, les difficultés, les tentations.
Discussion sur Cap découverte, construit en catimini. Projet qui aurait pu être possible avec de la concertation sous un modèle différent.