Trouver des financements pour les repentistas n'est pas facile. R$800,00 par duo. La concurrence avec la radio (24h/24 avec des musiques diverses) n'est pas équitable.
L'accès et les horaires cédés aux repentistas sur les médias est restreint: "La culture populaire, je pense que c'est presque dans le monde entier pareil: discriminée" (Raimundo Caetano). Image négative du repente: les médias montrent le pire et/ ou caricatural de cette culture. Les interviewés parlent du rôle des média à associer les repentistas à la pauvreté et misérabilisme. Les stéréotypes des repentistas sont souvent ridiculisés.
La différence de prix demandée par les chaines de télévision fédérales et privées est trop importante pour que les repentistas puissent se présenter partout, ce qui limite leurs choix aux chaines télé de l'État. L'évolution de mentalité commence à se faire grâce à l'audience de certains programmes qui montrent les repentistas sans jugement.
Discrimination des Régions Sud et Sud-ouest du Brésil contre le Nord-est.
Certains repentistas non-professionnels contribuent à leur propre mauvaise réputation, car utilisent le repente comme forme de mendier, dans les plages, par exemple. Souvent ceux-ci sont rechassés avec agressivité, et ne sont pas bien vus parmi les repentistas professionnels. Les subventions régionales sont souvent données à cantadores du Sud en détriment de ceux de la Région Nord-este.