Son inédit
Pagès, Marie ; Pagès, Joseph ; Ricard, Céline ; Loddo, Daniel |
G 1283 B
RECETTE ; COCHON ; JAMBON ; BOEUF ; SANGLIER ; OS ; VIN ; SOUPE ; CHOU ; OIGNON ; AIL ; FROMAGE ; PATISSERIE (ALIMENTATION) ; CROSTADA ; CREPE ; AGNEAU ; TRIPOUS
Les anciennes patisseries : les fougasses, les "crostadas", les "flausonas", les "palèus", les "gimbeletas", les "aurelhetas".
La cuisine de l'agneau.
Les "tripons". Le nettoyage et le blanchissement des tripes.
Les pieds d'agneau ( les "patons" ). La cuisson "a vista de nas".
La daube ( "l'estofat" ). La daube de bœuf ou de sanglier. On la mangeait en hiver.
La buche de Noël. Le chauffage à la cheminée. Réflexions sur la vie d'autrefois.
Les repas de fête. La soupe au fromage, avec du chou, du fromage gruyère et cantal, et du pain, en plusieurs couches. Dans le bouillon elle y met soit un jarret, du jambon...
On peut y mettre aussi une cuillère de roquefort. On y met aussi du beurre.
Ils se faisaient eux même le beurre. ( Lexique : "lo gaspilh" le petit lait ). Ce beurre rancissait plus vite.
Le gras d'os ( grais d'òsses ). Quand on avait tué le porc on coupait les os qui restaient en petit bouts, et on les mettait avec les os de jambons rances qui restaient, avec beaucoup de sel dans des pots en terres. Ensuite dans une boite en fer blanc sphérique appelée la "gratonièira" on le mettait dans la soupe pour donner du goût, et les morceaux d'os restaient dans la boite en fer blanc.
La "méthode". Les côtes de porcs coupées en parts et bouillies dans la saumure puis mises dans des pots de terre. On en mettait ensuite à bouillir dans la soupe pour la saler et lui donner du goût.
On mangeait "l'alhada" le matin ( et quelque fois on faisait chabrot ) et de la soupe à midi et le soir. Le "torrilh" ou "l'alhada".