Sa famille était dévote mais pas superstitieuse.
Les mineurs partaient à pied et rentraient ensemble puis allaient dans les veillées. L'un d'eux étant simple d'esprit ils ne le voulaient pas et l'amenèrent à la chasse au dahu. Il attrapa un lièvre et cria "Lo tèni lo Tamarre" et ils durent le manger.
Les jeunes s'amusaient à attacher des coquilles de noix aux pattes des chats et les gens avaient peur du Diable ou montaient les charrues dans les arbres.