Ces jeunes chaisiers étaient souvent affamés, quand ils voyaient une poule ils l'assommaient avec le mesurotto et quand le paysan demandait ce qui était arrivé à leur poule, ils pouvaient dire "elle a pris le mal du mesurotto".
L'intégration était facile car ces Italiens parlaient mieux patois que français. Ils étaient bien considérés. Les paysans étaient habitués au passage de différents corps de métier, n'étaient pas méfiants.
Les chaisiers travaillaient et dormaient dans l'étable.