Le dernier charivari eut lieu en 1929 pour une veuve qui se remaria.
Un oncle de l'informateur se maria en 1920, à 40 ans avec une veuve, on lui fit également charivari. L'équipe des soldats revenus de la première guerre mondiale firent un très grand chahut.
Début 1900, un autre charivari où un veuf de 60 ans épousait sa bonne, une jeune fille marseillaise qui voulait sa fortune : on fit les pantins vêtus à la Marseillaise qu'on plaça dans un arbre. Après la mort de son mari, elle se remaria et on lui refit un charivari.
M. Anglès dit Carme (ancien maire) et la jeunesse avaient composé une chanson pour un charivari qui commençait par les paroles "A la polida veusa que i e tustam sul rataplan".
Pour le charivari de 1929, une autre chanson s'intitulait "Lo torge e la tortorèla", sa sœur y participa.