Jean raconte qu'il a participé à un charivari pendant les années d'occupation, à Valence d'Albigeois. Un veuf se remariait avec une coiffeuse et le but du Charivari était de faire un tapage ''du diable'' jusqu'à ce que le nouvel époux paye un coup à boire aux tapageurs. L'homme qui attendit quelques jours pour se plier à la tradition en fut pour payer à boire à quelques 200 personnes au lieu de la dizaine du premier jour. Cela s'était passé devant la maison de la coiffeuse. Il lui a fallu une trentaine de litres de vin blanc. . Jean parle de ce couple de nouveaux mariés. Des personnes installées depuis peu car le fils avait été nommé chef de district pour la réquisition. Jean raconte les moyens mis en place pour ce charivari fait en tapant avec des bois sur des casseroles. Il parle de ses dix sept dix huit ans et qu'à cet âge occupation ou pas, ils allaient chez les uns les autres dès qu'il y avait un repas à faire...C'est le seul charivari auquel participa Jean même s'il en avait entendu parler auparavant.