Les écoles libres ont ouvert dans les années 1850, celle des soeurs et celle des frères de Saint-Viateur, celle-ci se trouvait à l'emplacement de l'actuel pharmacie. Ils apprenaient la musique, son grand-père jouait du tuba. La clique de l'école : les enfants faisaient des tours de ville les dimanches matins. Il y avait quatre frères, l'école ferma aux alentours de la séparation de l'église et de l'état alors que celle des soeurs ferma en 1922. Sa tante y était scolarisée jusqu'en 1921.
Laurence a fait des recherches en archives sur son village.