Les mineurs avaient un médecin attitré, étaient mal vus s'ils en consultaient un autre.
Le fonctionnement jusqu'en 1972 des caisses rivales de secours mutuel (une seule assurait les femmes). Il y avait celles liées à l'Eglise : Saint-Paul puis La Fraternelle et en opposition La Libératrice.
A partir de 1972, M. Cassan et Pierrette Doat ont oeuvré pour le rapprochement en une seule société mutuelle pour tous avec l'UMT d'Albi.
De l'ancienne Libératrice il reste une vingtaine de personnes à la Société Mutualiste du Carmausin, dans leur statut, il existe un clause de droit à une veilleuse de malade.
Autrefois, un mineur ne se faisait jamais enterrer sans un drap et le drapeau du syndicat ou du parti auquel il appartenait.