À l'époque, le meunier vivait bien. Il vivait mieux qu'un agriculteur. Le meunier détenait un morceau de terre afin de rentrer la pâture pour nourrir les cheveux. L'informateur précise que son père faisait du grain pour deux marchands de Caussade, il vendait de la farine de maïs et d'orge pour l'alimentation des bestiaux. L'un d'eux avait aussi un moulin à cylindre situé sur la Lère : le moulin de Maux.
Du moulin, l'eau retournait au ruisseau : on appelait cet endroit la "besale".