Elle habite une ferme assez grande où on cultivait des céréales et du lin, dans les années 1920. Les techniques de préparation du lin, on le broyait, le faisait tremper dans l'Aveyron à Montricoux et on le battait au fléau. Quand le lin était peigné et filé, on l'amenait chez un tisserand sur la commune de Saint-Cirq. Huile de lin chez le presseur Boudou à Saint-Cirq, on pouvait la faire cuire pour une utilisation culinaire. Ils faisaient des draps avec la toile de lin. Le presseur Faliès continuait à faire de l'huile de noix jusqu'après guerre, il venait de Saint-Florian. Il faisait marcher son pressoir à la main.