Hamburger Search Action Menu Invite Arrow Delete Arrow right Arrow Circle Calendar Arrow Left Plus Check Radio Empty Check Box Radio Button Autocomplete Panier Photo

Son inédit

Discussion sur la broderie à Cordes

Gardes, Henri ; Loddo, Daniel ; Ricard, Céline |

G 765 B

BRODERIE ; NOM DE FAMILLE ; NOM PROPRE DE PERSONNE ; METIER A BRODER ; GUERRE MONDIALE (1914-1918) ; TRAVAIL DES FEMMES ; TISSU

Les gens ont commencé à avoir des métiers à domicile avant 1900, mais ils travaillaient pour des patrons. Odoui, Marti... furent les seuls à travailler pour leur compte à un moment. Le témoin a travaillé sur des métiers (enseigné par ses parents) mais suivant les périodes il a du se faire cantonnier ou travailler dans les champs car à certains moments la broderie demandait moins d'ouvrier. Lors de la première guerre mondiale, les hommes qui étaient les ouvriers habituels de la broderie étaient remplacés par les femmes. Au début, il n'y avait pas de machine à enfiler, on enfilait à la main. Il y avait plusieurs marques de métiers à broder. On travaillait avec de la soie (un peu), de la mousseline, du tissu ordinaire, du tulle... En 41, en retour de la guerre, il a travaillé pour Cocu Donien. Les tissus venaient tous de Suisse. Pour les motifs, chacun faisait son motif d'après les patrons réalisés par des dessinateurs. A Cordes, Mourliou, Vergne, ... étaient des dessinateurs indépendants et vendaient leurs dessins aux patrons. Des religieuses travaillaient aussi dans des broderies : les soeurs de Saint-Joseph, elles découpaient les tissus ou rapiéçaient. Ichard était situé en haut de Cordes à la Place. Les brodeurs étaient payés aux nombres de point du le dessin, mais les meilleurs ouvriers étaient mieux payés. Il y avait énormément de points différents

Plus... Retour