En 1900, la fête de la Broderie était organisée par les patrons. Il y en a eu une en 1910 apparemment. Il y avait une cavalcade avec des charrettes. Les ateliers étaient éclairés aux lampes à pétrole. L'électricité serait arrivé à Cordes par un certains Raboquin vers 1908-1909, mais il y avait des réverbères avant. Il y avait 4000 personnes qui travaillaient à la broderie à Cordes. Avant la broderie, Cordes était renommé pour les tisserands comme le grand-père du témoin Antonin au Bouysset, mais il y en avait d'autres : au Costou, à la Porte des Ormeaux,… Un brodeur gagnait mieux sa vie qu'un agriculteur. Il y avait deux mécaniciens pour réparer les machines en panne : Rifler et Brudeler, deux suisses qui apprirent le travail à des Cordais. Certaines réparations étaient faites par les utilisateurs des métiers. Certains métiers allaient jusqu'à 6m de tissus, mais la majorité était autour de 4m, 4m50. Les gens durent arranger les pièces pour accueillir les métiers : agrandir, des poutres en fer pour soutenir le métier