Résinier au travail dans la Landes Il y a également une strophe d'un poème de Th.G (Le Pin des Landes) " sans regretter son sang qui coule goutte à goutte, le pin verse son baume et sa sève qui bout, et se tient toujours droit sur le bord de la route, comme un soldat blessé qui veut mourir debout".